Valse de Capians – Les photos

Quelques galeries photos  comme bon souvenir de la valse des Capians 2022.
Un bon cru et une bonne ambiance des équipages, artisans, bénévoles et touristes.
Encore un grand merci a tous les bénévoles qui ont on contribués au succès de cette édition

Les images du quai et de ces artisans

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Image 1 de 14

L’accueil des équipages

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La regate

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Image 1 de 37

.

L’embarquement du public -La paella

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Valse de Capians – Les photos

Quelques galeries photos  comme bon souvenir de la valse des Capians 2022.
Un bon cru et une bonne ambiance des équipages, artisans, bénévoles et touristes.
Encore un grand merci a tous les bénévoles qui ont on contribués au succès de cette édition

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La regate

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L’accueil des équipages

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L’embarquement du public -La paella

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Valse de Capians – Les photos

Quelques galeries photos  comme bon souvenir de la valse des Capians 2022.
Un bon cru et une bonne ambiance des équipages, artisans, bénévoles et touristes.
Encore un grand merci a tous les bénévoles qui ont on contribués au succès de cette édition

Les images du quai et de ces artisans

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La regate

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L’accueil des équipages

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L’embarquement du public -La paella

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Valse de Capians – Les photos

Quelques galeries photos  comme bon souvenir de la valse des Capians 2022.
Un bon cru et une bonne ambiance des équipages, artisans, bénévoles et touristes.
Encore un grand merci a tous les bénévoles qui ont on contribués au succès de cette édition

Les images du quai et de ces artisans

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La regate

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L’accueil des équipages

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L’embarquement du public -La paella

Les régates à la voile à Bandol, en 1900.

Régates de Bandol Dimanche 9 août 1896

Les premières régates connues à Bandol, c’était en 1896. (Clic sur l’image). C’est la Société Nautique de Marseille qui la patronne. Régates à la voile avec des yachts tout gréement (excepté le marconi ou bermudien qui n’était pas répandus),  et avec des barques à voile latine.

Le détail des régates est dans une affiche spéciale

Les pêcheurs ont presque tous des barques provençales appelées  mourres de pouars.  Ce sont des bateaux  adaptées à leurs besoins c’est à dire  capables de porter le maximum de poids des filets et poissons, et à la navigation sur nos côte de  Provence. Elles sont assez larges et très aplaties dans le fond , donc  elles tiennent bien la mer et quand le vent force, avancent  bien, elles marchent pas trop mal quand il faut  rentrer sans tarder vendre le produit de la pêche. Elles sont  lourdes, mais sont assez solides pour être tirées régulièrement à terre sur les rondins  .

Pour  ce métier qui est parfois dangereux, le pêcheur  doit être  bon marin, et fin barreur. Il doit agir  rapidement  en cas de coup de vent et rester maître des manoeuvres pour aller se mettre à l’abri ou pour rentrer le plus tôt afin d’être présent sur le marché et vendre le produit de sa pêche. Les pêcheurs deviennent ainsi des fins « voileux ». Inversement les régates ça apprend à manoeuvrer vite et bien, ça permet de connaître les limites des performances de son bateau.

 

Grand et petit parcours

Les pêcheurs aiment se mesurer entre eux en régates.  Dans les années 60,  j’ai connu un pêcheur qui avait pratiqué  la voile latine. Ils nous donnait des conseils pour les régates avec nos dériveurs en 420.

Dans ces courses, ils ont une  catégorie à part, avec un petit parcours de 2 miles seulement.

Les yachts de régates (bien  grand mot pour des bateaux qui font moins de 3 tonneaux et mesurent bien moins de 10m de long)  sont essentiellement équipés de gréement houari. Ils ont une voile qui monte plus haut que le mât grâce à une corne qui le prolonge. Sur les 2 cartes postales ci contre de Bandol on les reconnait bien.

Régates de voiles latines et houaris

 

En 1905,  c’est la fête à Bandol, c’est la Société des Régates de Bandol nouvellement créée qui organise les régates. Ces régates sont intégrées le lundi 17 juillet à la Grande Fête Locale   lors du week-end. Puis régulièrement, les régates à la voile se feront pendant la fête de Bandol. En 1934, le siège de la société sera le Pavillon Flottant. Le nom deviendra Société Nautique de Bandol.

Règlement des régates de 1910

Les animations sur mer seront toujours plus belles.

 

Bandol-sur- Mer - Jour des Régates

 

 

 

 

 

 

C’est en 1920 qu’apparaissent les bateaux de pêches avec moteur à essence. Le mourre de pouar,   était un bon compromis pour la pêche et la voile. Mais avec l’arrivée de la motorisation à essence, les nouvelles barquettes,  pointus ou barques marseillaises moins plates,  sont mieux adaptées à cette motorisation.  Les chantiers provençaux sont peu à peu rachetés par les charpentiers venus d’Italie, dans les années 30.  Ils  construisaient en Italie la barquette appelée  gozzo (prononcer Gotzo).

Le mourre de pouar se raréfie et disparaît presque entre les 2 guerres. Donc nos pointus ressemblent plus à des Gozzi (au pluriel avec un i), qu’à des mourres de pouar. Toutefois un chantier  comme Navibac a gardé un style de construction de tradition provençale, la coque est large, très porteuse, et stable pour embarquer confortablement plusieurs personnes.

Notons que le chantier Ruopolo et Gay, célèbre pour la solidité des coques, pour leur portance, et pour leur tenue à la mer, à la demande de certains pêcheurs qui portaient des filets lourds, a adopté en quelque sorte la forme de carène du mourre de pouar. C’est à dire une barque plutôt large, joufflue devant et derrière. Cette carène est moins bonne pour la remontée au vent à la voile.

coupes mourre de pouar et gozzi à scanner

Les régates à la voile à Bandol, en 1900.

Régates de Bandol Dimanche 9 août 1896

Les premières régates connues à Bandol, c’était en 1896. (Clic sur l’image). C’est la Société Nautique de Marseille qui la patronne. Régates à la voile avec des yachts tout gréement (excepté le marconi ou bermudien qui n’était pas répandus),  et avec des barques à voile latine.

Le détail des régates est dans une affiche spéciale

Les pêcheurs ont presque tous des barques provençales appelées  mourres de pouars.  Ce sont des bateaux  adaptées à leurs besoins c’est à dire  capables de porter le maximum de poids des filets et poissons, et à la navigation sur nos côte de  Provence. Elles sont assez larges et très aplaties dans le fond , donc  elles tiennent bien la mer et quand le vent force, avancent  bien, elles marchent pas trop mal quand il faut  rentrer sans tarder vendre le produit de la pêche. Elles sont  lourdes, mais sont assez solides pour être tirées régulièrement à terre sur les rondins  .

Pour  ce métier qui est parfois dangereux, le pêcheur  doit être  bon marin, et fin barreur. Il doit agir  rapidement  en cas de coup de vent et rester maître des manoeuvres pour aller se mettre à l’abri ou pour rentrer le plus tôt afin d’être présent sur le marché et vendre le produit de sa pêche. Les pêcheurs deviennent ainsi des fins « voileux ». Inversement les régates ça apprend à manoeuvrer vite et bien, ça permet de connaître les limites des performances de son bateau.

 

Grand et petit parcours

Les pêcheurs aiment se mesurer entre eux en régates.  Dans les années 60,  j’ai connu un pêcheur qui avait pratiqué  la voile latine. Ils nous donnait des conseils pour les régates avec nos dériveurs en 420.

Dans ces courses, ils ont une  catégorie à part, avec un petit parcours de 2 miles seulement.

Les yachts de régates (bien  grand mot pour des bateaux qui font moins de 3 tonneaux et mesurent bien moins de 10m de long)  sont essentiellement équipés de gréement houari. Ils ont une voile qui monte plus haut que le mât grâce à une corne qui le prolonge. Sur les 2 cartes postales ci contre de Bandol on les reconnait bien.

Régates de voiles latines et houaris

 

En 1905,  c’est la fête à Bandol, c’est la Société des Régates de Bandol nouvellement créée qui organise les régates. Ces régates sont intégrées le lundi 17 juillet à la Grande Fête Locale   lors du week-end. Puis régulièrement, les régates à la voile se feront pendant la fête de Bandol. En 1934, le siège de la société sera le Pavillon Flottant. Le nom deviendra Société Nautique de Bandol.

Règlement des régates de 1910

Les animations sur mer seront toujours plus belles.

 

Bandol-sur- Mer - Jour des Régates

 

 

 

 

 

 

C’est en 1920 qu’apparaissent les bateaux de pêches avec moteur à essence. Le mourre de pouar,   était un bon compromis pour la pêche et la voile. Mais avec l’arrivée de la motorisation à essence, les nouvelles barquettes,  pointus ou barques marseillaises moins plates,  sont mieux adaptées à cette motorisation.  Les chantiers provençaux sont peu à peu rachetés par les charpentiers venus d’Italie, dans les années 30.  Ils  construisaient en Italie la barquette appelée  gozzo (prononcer Gotzo).

Le mourre de pouar se raréfie et disparaît presque entre les 2 guerres. Donc nos pointus ressemblent plus à des Gozzi (au pluriel avec un i), qu’à des mourres de pouar. Toutefois un chantier  comme Navibac a gardé un style de construction de tradition provençale, la coque est large, très porteuse, et stable pour embarquer confortablement plusieurs personnes.

Notons que le chantier Ruopolo et Gay, célèbre pour la solidité des coques, pour leur portance, et pour leur tenue à la mer, à la demande de certains pêcheurs qui portaient des filets lourds, a adopté en quelque sorte la forme de carène du mourre de pouar. C’est à dire une barque plutôt large, joufflue devant et derrière. Cette carène est moins bonne pour la remontée au vent à la voile.

coupes mourre de pouar et gozzi à scanner

Les régates à la voile à Bandol, en 1900.

Régates de Bandol Dimanche 9 août 1896

Les premières régates connues à Bandol, c’était en 1896. (Clic sur l’image). C’est la Société Nautique de Marseille qui la patronne. Régates à la voile avec des yachts tout gréement (excepté le marconi ou bermudien qui n’était pas répandus),  et avec des barques à voile latine.

Le détail des régates est dans une affiche spéciale

Les pêcheurs ont presque tous des barques provençales appelées  mourres de pouars.  Ce sont des bateaux  adaptées à leurs besoins c’est à dire  capables de porter le maximum de poids des filets et poissons, et à la navigation sur nos côte de  Provence. Elles sont assez larges et très aplaties dans le fond , donc  elles tiennent bien la mer et quand le vent force, avancent  bien, elles marchent pas trop mal quand il faut  rentrer sans tarder vendre le produit de la pêche. Elles sont  lourdes, mais sont assez solides pour être tirées régulièrement à terre sur les rondins  .

Pour  ce métier qui est parfois dangereux, le pêcheur  doit être  bon marin, et fin barreur. Il doit agir  rapidement  en cas de coup de vent et rester maître des manoeuvres pour aller se mettre à l’abri ou pour rentrer le plus tôt afin d’être présent sur le marché et vendre le produit de sa pêche. Les pêcheurs deviennent ainsi des fins « voileux ». Inversement les régates ça apprend à manoeuvrer vite et bien, ça permet de connaître les limites des performances de son bateau.

 

Grand et petit parcours

Les pêcheurs aiment se mesurer entre eux en régates.  Dans les années 60,  j’ai connu un pêcheur qui avait pratiqué  la voile latine. Ils nous donnait des conseils pour les régates avec nos dériveurs en 420.

Dans ces courses, ils ont une  catégorie à part, avec un petit parcours de 2 miles seulement.

Les yachts de régates (bien  grand mot pour des bateaux qui font moins de 3 tonneaux et mesurent bien moins de 10m de long)  sont essentiellement équipés de gréement houari. Ils ont une voile qui monte plus haut que le mât grâce à une corne qui le prolonge. Sur les 2 cartes postales ci contre de Bandol on les reconnait bien.

Régates de voiles latines et houaris

 

En 1905,  c’est la fête à Bandol, c’est la Société des Régates de Bandol nouvellement créée qui organise les régates. Ces régates sont intégrées le lundi 17 juillet à la Grande Fête Locale   lors du week-end. Puis régulièrement, les régates à la voile se feront pendant la fête de Bandol. En 1934, le siège de la société sera le Pavillon Flottant. Le nom deviendra Société Nautique de Bandol.

Règlement des régates de 1910

Les animations sur mer seront toujours plus belles.

 

Bandol-sur- Mer - Jour des Régates

 

 

 

 

 

 

C’est en 1920 qu’apparaissent les bateaux de pêches avec moteur à essence. Le mourre de pouar,   était un bon compromis pour la pêche et la voile. Mais avec l’arrivée de la motorisation à essence, les nouvelles barquettes,  pointus ou barques marseillaises moins plates,  sont mieux adaptées à cette motorisation.  Les chantiers provençaux sont peu à peu rachetés par les charpentiers venus d’Italie, dans les années 30.  Ils  construisaient en Italie la barquette appelée  gozzo (prononcer Gotzo).

Le mourre de pouar se raréfie et disparaît presque entre les 2 guerres. Donc nos pointus ressemblent plus à des Gozzi (au pluriel avec un i), qu’à des mourres de pouar. Toutefois un chantier  comme Navibac a gardé un style de construction de tradition provençale, la coque est large, très porteuse, et stable pour embarquer confortablement plusieurs personnes.

Notons que le chantier Ruopolo et Gay, célèbre pour la solidité des coques, pour leur portance, et pour leur tenue à la mer, à la demande de certains pêcheurs qui portaient des filets lourds, a adopté en quelque sorte la forme de carène du mourre de pouar. C’est à dire une barque plutôt large, joufflue devant et derrière. Cette carène est moins bonne pour la remontée au vent à la voile.

coupes mourre de pouar et gozzi à scanner

Les régates à la voile à Bandol, en 1900.

Régates de Bandol Dimanche 9 août 1896

Les premières régates connues à Bandol, c’était en 1896. (Clic sur l’image). C’est la Société Nautique de Marseille qui la patronne. Régates à la voile avec des yachts tout gréement (excepté le marconi ou bermudien qui n’était pas répandus),  et avec des barques à voile latine.

Le détail des régates est dans une affiche spéciale

Les pêcheurs ont presque tous des barques provençales appelées  mourres de pouars.  Ce sont des bateaux  adaptées à leurs besoins c’est à dire  capables de porter le maximum de poids des filets et poissons, et à la navigation sur nos côte de  Provence. Elles sont assez larges et très aplaties dans le fond , donc  elles tiennent bien la mer et quand le vent force, avancent  bien, elles marchent pas trop mal quand il faut  rentrer sans tarder vendre le produit de la pêche. Elles sont  lourdes, mais sont assez solides pour être tirées régulièrement à terre sur les rondins  .

Pour  ce métier qui est parfois dangereux, le pêcheur  doit être  bon marin, et fin barreur. Il doit agir  rapidement  en cas de coup de vent et rester maître des manoeuvres pour aller se mettre à l’abri ou pour rentrer le plus tôt afin d’être présent sur le marché et vendre le produit de sa pêche. Les pêcheurs deviennent ainsi des fins « voileux ». Inversement les régates ça apprend à manoeuvrer vite et bien, ça permet de connaître les limites des performances de son bateau.

 

Grand et petit parcours

Les pêcheurs aiment se mesurer entre eux en régates.  Dans les années 60,  j’ai connu un pêcheur qui avait pratiqué  la voile latine. Ils nous donnait des conseils pour les régates avec nos dériveurs en 420.

Dans ces courses, ils ont une  catégorie à part, avec un petit parcours de 2 miles seulement.

Les yachts de régates (bien  grand mot pour des bateaux qui font moins de 3 tonneaux et mesurent bien moins de 10m de long)  sont essentiellement équipés de gréement houari. Ils ont une voile qui monte plus haut que le mât grâce à une corne qui le prolonge. Sur les 2 cartes postales ci contre de Bandol on les reconnait bien.

Régates de voiles latines et houaris

 

En 1905,  c’est la fête à Bandol, c’est la Société des Régates de Bandol nouvellement créée qui organise les régates. Ces régates sont intégrées le lundi 17 juillet à la Grande Fête Locale   lors du week-end. Puis régulièrement, les régates à la voile se feront pendant la fête de Bandol. En 1934, le siège de la société sera le Pavillon Flottant. Le nom deviendra Société Nautique de Bandol.

Règlement des régates de 1910

Les animations sur mer seront toujours plus belles.

 

Bandol-sur- Mer - Jour des Régates

 

 

 

 

 

 

C’est en 1920 qu’apparaissent les bateaux de pêches avec moteur à essence. Le mourre de pouar,   était un bon compromis pour la pêche et la voile. Mais avec l’arrivée de la motorisation à essence, les nouvelles barquettes,  pointus ou barques marseillaises moins plates,  sont mieux adaptées à cette motorisation.  Les chantiers provençaux sont peu à peu rachetés par les charpentiers venus d’Italie, dans les années 30.  Ils  construisaient en Italie la barquette appelée  gozzo (prononcer Gotzo).

Le mourre de pouar se raréfie et disparaît presque entre les 2 guerres. Donc nos pointus ressemblent plus à des Gozzi (au pluriel avec un i), qu’à des mourres de pouar. Toutefois un chantier  comme Navibac a gardé un style de construction de tradition provençale, la coque est large, très porteuse, et stable pour embarquer confortablement plusieurs personnes.

Notons que le chantier Ruopolo et Gay, célèbre pour la solidité des coques, pour leur portance, et pour leur tenue à la mer, à la demande de certains pêcheurs qui portaient des filets lourds, a adopté en quelque sorte la forme de carène du mourre de pouar. C’est à dire une barque plutôt large, joufflue devant et derrière. Cette carène est moins bonne pour la remontée au vent à la voile.

coupes mourre de pouar et gozzi à scanner

Materiel de sécurité et documents à bord…

Avec le retour du beau temps vous allez sans doute reprendre la mer.
Les contrôles de sécurité sont de plus en plus fréquents et les amendes en mer coûtent  très chères;

Bien vérifier votre matériel de sécurité en fonction de la zone de navigation
Catégorie basique < 2 milles d’un abri cotier
Catégorie cotier <6 milles d’un abri cotier
(Un abri cotier est tout lieu ou l’on peut accoster ou mouiller en sécurité)

Pour la majorité de notre flotte, le matériel concerne la catégorie basique ( Bandol aux Embiez, la Ciotat, St Mandrier , St Tropez)

Catégorie basique: moins de 2 milles d’un abri
-Un gilet par personne de 50 newtons minimum.(mais 100 newtons minimum recommandé)
(pas de gilet spécial enfant obligatoire contrairement aux idées reçues)
-Un dispositif lumineux par gilet (lampe étanche ou cyalum)
-Un extincteur (contrôler la date de validité)
-Un dispositif de remorquage (taquet amarrage et une amarre)
-Une écope ou seau
-Un mouillage

Catégorie cotier moins de 6 milles d’un abri
Dans ce cas les gilets doivent être de 100 newtons minimum

Il faut ajouter:

-3 feux a main (contrôler la date de validité)
-Un compas
-Carte marine du lieu de navigation
-Règlement abordage en mer (à télécharger depuis internet)
-Description du système de balisage (à télécharger depuis internet)
-Dispositif repérage et assistance aux personnes en mer (type bouée couronne avec un bout)

 Documents a bord
Carte de circulation du bateau ou acte de Francisation
Permis Bateau
Certificat d’assurance a jour

Bonne navigation

AUCEU

Prononcer « aouceou », en provençal c’est l’oiseau

Année:        1968
Longueur:   3m95
Largeur:      1m70
Chantier:     Ruoppolo
Coque et pont :    bois
Moteur:        Yanmar 2GMD
Proprietaire: Pierrot Gaimard